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today ADF Paris Nov. 25, 2016

conférence en direct ADF Paris 2016 · 25 novembre 26 1.3 Tumeurs odontogéniques mésenchyma- teuses et/ou ecto-mésenchymateuses (avec ou sans inclusions d’épithélium odontogénique) 2 Tumeurs et pseudo tumeurs des maxil- laires d’origine osseuse 2.1 Tumeurs ostéo- ou cémento-formatrices 2.2 Lésions osseuses non tumorales 2.3 Tumeur mélanotique neuro-ectodermique de l’enfance 3 Épithéliaux des maxillaires 3.1 Kystes de dévelopement 3.2 Kystes inflammatoires B – Pathologies tumorales et pseudo tu- morales non odontogéniques des cavités naso sinusiennes et de l’infrastructure maxillo-faciale : 1 Tumeurs épithéliales 2 Tumeurs mésenchymateuses 3 Tumeurs nerveuses et méningées 4 Tumeurs vasculaires 5 Tumeurs cartilagineuses bénignes 6 Maladie de Paget 7 Histiocytose Langhéransienne C – Pathologies tumorales malignes : 1 Carcinomes odontogéniques 2 Sarcomes odontogéniques 3 Tumeurs épithéliales 4 Mélanome malins 5 Tumeurs d’origine conjonctive D’un point de vu de la fréquence, le groupe A représente environ 70 % des étiologies, le groupe B 20 % et le groupe C au pronostic le plus péjoratif 5 %. Le groupe A se présente le plus souvent sous forme de lésions lytiques (kyste radiculaire, granulome périapical, kystes résiduels, kyste dentigère, kératokyste) (Fig. 6). Par définition, « un kyste est une cavité pathologique qui présente un contenu liquide, semi-liquide, ou aérique et qui n’est pas créé par l’accumulation de pus. Il est bordé par un épithélium qui peut être soit continu soit dis- continu. », à la différence du pseudo kyste qui est représenté par une cavité non bordée par un épithélium. Les groupes B et C se présentent le plus souvent sous forme de tumeurs ou pseudo-tu- meurs (Fig. 7). Par définition, une tumeur est une néoformation tissulaire, de type bénin ou malin. Une pseudo-tumeur est une tuméfac- tion déformant un organe et ayant pour ori- gine une dystrophie (déficience de la nutrition de cet organe), une inflammation ou une mal- formation. On distingue ainsi les pseudo tu- meurs dystrophiques, inflammatoires ou mal- formatives. Le groupe C constitue le groupe au pronos- tic péjoratif. Sauf contre indication de terrain ou d’extension, il imposera un traitement chirurgical. Cette décision sera multidiscipli- naire dans le cadre d’une réunion de concerta- tion pluridisciplinaire (RCP). Cette dernière regroupe des professionnels de santé de diffé- rentes disciplines dont les comptences sont in- dispensables pour prendre une décision accor- dant aux patients la meilleure prise en charge en fonction de l’état de la science du moment (Fig. 8). Enfin, il faudrait rajouter à cette classifica- tion de l’OMS un chapitre D traitant de la pa- thologie tumorale iatrogène représentée par les nécroses osseuses iatrogènes, ostéoradio- nécroses et ostéonécroses aux biphospho- nates (ONM). En conclusion, une lésion osseuse maxillo mandibulaire reste le plus souvent une décou- verte quotidienne et bénigne. Mais à l’opposé, il faut être alerté par une clinique discordante, des images radiologiques suspectes. La radio- logie riche de l’apport de ses différents exa- mens peut orienter, et le plus souvent rassu- rer, mais il faut au moindre doute clinico-ra- diologique opter pour une biopsie ou biopsie exérèse qui permettra un examen anatomopa- thologique, seul véritable conclusion de certi- tude à cettte lésion osseuse maxillo mandibu- laire. 1. Barnes L, Eveson JW, Reichart P, Sidranski D. WHO clas- sification of tumours. Pathology and genetics. In: Barnes L, Eveson JW, Reichart P, Sidranski D, editors. Head and neck tumors. Lyon: IARC Press; 2005. p. 283–327 [Chapter 6, Odontogenic tumours] Fig. 2: Maladie de Paget. Dentascanner vue panoramique, au maxillaire droit «os plus blanc» (plus condensé) et plus gros. Une scintigraphie osseuse peut être utile pour établir une cartographie des lésions pagétiques en offrant une vi- sualisation de l’ensemble du squelette (hyperfixation scin- tigraphique). Fig. 3: Ostéoradionécrose aux biphosphonates. Dentascan- ner, image de lyse osseuse avec séquestre crestal. Fig. 4: Cancer osseux. Panoramique dentaire, lésion ly- tique irrégulière mal délimitée, de toute la branche mandi- bulaire horizontale droite avec rupture de la crête, clinique- ment anesthésie labio mentonnière droite. Fig. 5: Coupe histologique de lésion maligne A. proliféra- tions de cellules claires (grossissement X 10) B. amas de cel- lules claires et de cellules basales (grossissement X 20). Fig. 6: Dentascanner vue panoramique. Volumineux kyste apico dentaire de la 16, contour calicifié régulier du kyste sans lyse osseuse ni rhizalyse. Fig. 7: Fibrome cémento-ossifiant du maxillaire droit. Coupe TDM axiale montrant une image ostéogénique, limi- tée par un fin liseré de condensation osseuse périphérique à type de «coquille d’oeuf» et comportant en son sein des élèments radio-opaques. Fig. 8: Réparation de l’hémi mandibule gauche Réparation par lambeau libre de fibula, suite à l’exérèse de toute la branche horizontale mandibulaire gauche pour cancer. 6 7 8a 8b 2 3 4 5a 5b 26 27 28 Enimagerieunproblèmepeutencacherunautre.Une mise à jour de vos connaissances. » page 22 Conférence Tests grandeur nature de caméras intra buccales. Allez les tester sur les stands. » page 24–27 All digital Quoi de neuf en pathologie salivaire ? Mise au point sur les dernières connaissances. » page 10 & 11 Conférence Assistina 3x3 : un niveau de nettoyage jamais égalé ATLANTA & CHICAGO, Ètats-Unis : En étroite collaboration avec le centre de pré- ventionetdecontrôledesmaladies(CDC)et l’Organisationpourlasécurité,l‘asseptieet laprévention(OSAP),l’Associationdentaire américaine(ADA)apubliédesinformations destinéesauxprofessionnelsdentairesrela- tive au virus Ebola, actuellement épidé- miqueenAfriquedel’Ouest.Entreautresre- commandations, l’ADA fournit des conseils sur le traitement des patients qui sont ré- cemmentrevenusdesrégionstouchéespar levirus. Apparueenmars2014enGuinée,l’épidé- mie de fièvre hémorragique Ebola s’étenddemanièrepréoccupante.Enraison des flux de voyageurs, il est possible que la propagationduvirusatteignelespayseuro- péens et les Ètats-Unis. L’OMS prévient que les premières personnes touchées hors Afrique sont plus particulièrement des membres du personnel soignant. Bien que cerisquesoittrèsfaible,leCDCtravailleac- tuellement pour prévenir l’introduction et la diffusion du virus Ebola et d’autres mal- adiesinfectieusesauxÉtats-Unis. L’ADAinformelesprofessionnelsdentai- res sur le fait qu’une personne infectée par le virus d’Ebola est uniquement conta- gieuse lors de l’apparition des symptômes. Aussi,enraisondelanaturevirulentedela maladie, il est peu probable qu’une per- sonneprésentantdessymptô- mesd’Ebolasubissedessoins dentaires,alorsqu’elleestpar ailleurs sérieusement ma- lade.Toutefois,leCDCetladi- vision des sciences de l’ADA conseillent aux profession- nels dentaires de se rensei- gner sur les antécédents mé- dicaux et les éventuels voya- ges de leurs patients, présen- tant des symptômes pouvant suspecter une infection vi- rale. Lapérioded’incubationduvirusestde2 à 21 jours. Pour plus de précautions, la divi- sion des sciences de l’ADA, conseille aux professionnels dentaires d’attendre les vingt et un jours consécutifs au voyage, avant de procéder au soin dentaire d’un pa- tient. En effet, toute personne rentrant des paysouest-africains,Libéria,SierraLeoneet la Guinée a pu être en contact avec des per- sonnes infectées et pourrait constituer un risque. Les signes et symptômes du virus Ebola sont : une fièvre supérieure à 38,6 C, de sé- vères maux de tête, des douleurs musculai- res,vomissements,diarrhée,douleursàl’es- tomac, saignements inexpliqués ou ecchy- moses. Levirussetransmetparlecontactdirect des fluides corporels infectés, à savoir dans lecasdespraticiensdentistes:lesang,lasa- live et la sueur. Il ne se propage ni dans l’air nidansl’eau. L’épidémied’Ebolade2014estlaplusim- portanterépertoriéeàcejourettoucheplu- sieurs pays d’Afrique de l’Ouest, notam- ment la Guinée, le Libéria, le Nigeria et SierraLeone.Sonapparitionaétéofficielle- ment reconnue en mars cette année. Selon les estimations de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), environ 9 000 personnes ont été infectées par la maladie et environ 4500sontmorts. LevirusEbolaestunemaladiegrave,souventfatalechezl´homme.Lapé- rioded’incubationdel’infectionauxsymptômesestdeuxà21jours.(Photo- graphie : Nixx photographie/Shutterstock) Indications des autorités sanitaires face au virus Ebola c c co o om m mm m ma a an n nd d da a at t ti i io o on n ns s s,, sur l le trai itemen c ce emme ent tre eve enu u l le ev vi ir ru us s. . A A Ap p pp p pa a ar r ru u ue e ee e en n nm m m m m mi i ie e e d d de e e f f fi i iè è èv v vr r re e e s s’é ét te en nd dd de em ma an ni iè è d de es s f fl lu ux x d de e v vo oy ya ag g d UGOGVGPRQWTXQWUQHHTKT chaque jour du congrès de l’ADF, retrouvez les articles que vous avez plébiscités : ƒ .CUȌNGEVKQPFGUCTVKENGUUEKGPVKƒSWGUFGU EQPHȌTGPEGU ƒ .GUȌXȌPGOGPVU ƒ .GUPQWXGCWVȌURTQFWKVU /'4%+RQWTXQUGPEQWTCIGOGPVUGPTQWVGRQWT cons st ti it t tu u u ue e e er r u u u u un n n n ptôme es s d d d du u u u v v vi i ir r r r ru u us s E Eb b bo o ol la upér ri ie e eu u u ur r r re e à à à à 3 3 3 3 38 8 8 8,,6 6 C C C, de sé- e tête e, d d de e e es s s s d d do o o ou u u ul l le eu ur r rs s s musculai- seme en nt ts s s s,,d d d di i ia a ar r r r rr r rh h h hé ée e e,d d douleursàl’es- , saig gn ne e e em m m m me en n nt t t t ts s s s i i i in ne e ex x xp p pliqués ou ecchy h h - y y oses. L Le ev v v vi i i i ir r ru u us s ss s s se e e et tr ra a an n nsmetparlecontactdirect d f f fl id d d l i f é à i d Enimagerieunproblèm me ep pe mise à jour de vos s c co on nn Conférence pathologie salivaire ? r les dernières connaissances. » pa p p g a e g g 10 & 11 Conférence CHICAGO, Ètats-Unis ation av a a ec le centr ntrôledesmalad ourlasécurité,l l l‘a a SAP),l’A ’ ssociati i io o on nd d d A)apubliédesinf f fo o or rm m m ma a a a ofessionnelsdenta a ai i ir r re es s s sr r r re e bola, actuellement é é ép pi i id d d dé é edel’Ouest.Entreautre e es s sr re e--- l’A ’ DA D f i d i il ations des la a ,, l l l’A A A ’ D D DA A A D D D f f fo o ou u ur r rn n ni i it t t d d de e es s s c c co o on n n ns s s se e e eil l ls s s t d des patients qui sont t ré é- u us sd d d de es sr ré é é ég g gi i i io on ns st t to ou uc ch h h hé é é ée es sp p pa ar r m m ma a ar r rs s s2 2 20 0 01 1 14 4 4e e en n nG G Gu u ui i in n né é ée e e,l l l’é é ép p pi i id d dé é é-- e e h h hé é ém mo or rr ra ag gi i iq qu ue e E E Eb b bo ol l la a r re ep pr ré éo oc cc cu up pa an nt te e. .E En nr ra ai is so on n g ge eu ur rs s, i il l e es st t p po os ss si ib bl le e q qu ue e l la a l t t tu u ue e el l ll l le e e e em m m m m me e e e en n n n n nt t l la a d di if ff fu us si i i i io o o o on n n n n n d a ad di ie es si in nf f f fe e ec c ct t t ti i i i ie e e eu u u u u us s s L’ L LA ’ D DA A D f ya a- és se e en n n-- po ou u uv v v v v va a a a an n n n nt t t t t t t i in nf f fe e ec c c c c ct t ti i i io o o o on n n n n v v v v v v vi i i i i i i--- ti io on nd d d du u u u uv v v v v vi i i i i ir r r r r ru u u u u us s s s s se e e e e e e es s s s st t t t t td d d d d de e e e2 2 2 2 2 s s d de e e p p p p pr r r r ré é é é é é é éc c c c c ca a a a a a au u u u u u ut t t t t ti i i i i i i i io o o o on n n n n ns s s s s, l l l l la a d di iv vi i- ces s d d d d de e e e e l l l l l l’’’A A A A A A A A ’’ D D D D D D D D DA A A A A A A A A D D D D D D ,,, c c c c co o o o on n n n ns s se e ei i i il l ll l le e a au ux x d d d d d d’ d d l d d d d de e e e es s s s s f f f f f fl l l l l l lu u u u u ui i i i id d d d d d d de e e e e es s s s s c c co orp p p p po o o or r re e el l ls s si i in n nf f fe e ec c ct t té é és s s,,à à à s s sa a av v v a a a a o o oi i ir r r d d da a an n ns s s l l l l l l le e e e e ec c c c ca a a a as s s s sd d d d d de e e e es s s sp pr rat ti iciensd dentistes:l lesang,l lasa- l l l l l l li i i i i iv v v v ve e e e e e e et t t t l l l la a a a s s su ue eu ur r. . r r r r I I I Il l l l n ne e s se e p p pr ro op p pa ag g ge e n ni i i i d d d da an ns s l l l l’’’a ai i i ir r n n n n ni i i id d da an ns sl l’e ea au u. L L L’ L Lé é ép p pi i id d dé é ém m mi i ie e ed d d’E E Eb b bo o ol l la a ad d de e e2 2 20 0 01 1 14 4 4e e es s st t tl l la a ap p pl l lu u us s si i im m m-- p po or rt t ta an nt t te er ré é ép pe er rt t to or ri i ié é ée eà à àc ce ej j jo ou ur re et t tt t to ou uc ch h he ep pl l lu u- s si ie eu ur rs s p pa ay y a a a s s d d’A A ’ f fr ri iq qu ue e d de e l l’O Ou ue es st t,, n no ot ta am m- m me en nt t l la a G Gu ui in né ée e, l le e L Li ib bé ér ri ia a, l le e N Ni ig ge er ri ia a e et t S L S é é ff ll L L L L Le e e r r r ri i i io o o od d d d d de e e e g gr r ra a a ap p p p ph h h h h hi i i i ie e e GVGPRQWTXQWUQHHTKT ue jour du congrès de l’ADF, retrouvez les articles que avez plébiscités : UȌNGEVKQPFGUCTVKENGUUEKGPVKƒSWGUFGU PHȌTGPEGU UȌXȌPGOGPVU UPQWXGCWVȌURTQFWKVU 4%+RQWTXQUGPEQWTCIGOGPVUGPTQWVGRQWT DENTALTRIBUNE TheW orld’sDentalNewspaper·ÉditionFrançaise GÉNÉRATIONSCEREC Trente ans déjà et de nom breuses évolutions plus tard le CEREC poursuit sa révolution num érique dans les cabinets. Un tem ps d’apprentissage est néces- saire.RetrouvezleDrJ.Verm eulencha- que m ois et suivez ses balbutiem ents danslam aitrisedela«m achine» ”Page4 TÉLÉ-MÉDECINE Al’initiativedel’U FRd’O do rectionduDrN.Giraude activité de télém éde taire perm et d’éta pour orienter si b liste.L’avenir? ”Page10 FOCUSSILVER D’icià2040,lapopulationdesplusde65ansvaaugm enter de 68 %. Les «Silver» aux tem pes argentées touchent de nom breux secteurs qui doivent s’adapterpouraidercesséniorsà tra- verser les étapes du vieillissem ent. ÀSuivre. ”Pages2|6|8|9|10|11|13|16 POURLESDENTISTESPARDESDENTISTES JUIN/JUILLET2016–Vol.8,No.6+7 E s t h é t i q u e T r i b u n e C h i r u r g i e T r i b u n e propagationduv p pé é ée e e en n n ns s s s s e e e et t t t l l l l le es s s È È È Èt t t ta a a a at t ts s s l le e e es s s s s s s p p p p pr r re e e em m m m m m m m mi i i i iè è è è è è èr r r r r re e e e e e es s s p p p p p p A A A A A Af f fr r r r ri i iq q q q q q q qu u u u u u ue e e e e e e e e e s s s s so o o on n n n nt t t p p p p p p p p pl l l l m m m m me e e e e e em m m m m mb b b br re e e es s s s s s d d d d du u u p p p p p p p p pe e e e er r r r c c c ce e e er r r r r r r r r ri i i is s s sq q q qu u u u u u u u ue e e e e e e e e e e e es s s so o o oi it t tt t tr r r r rè è è è è è è è è è è ès virusatteig gnelesp pay y a a seuro- s s s-U Un n ni i is s. L L’ L LO OM MS S p p pr ré év vi ie en nt t q q qu ue e p p p p p p p pe e e e e e e er r r r r r r rs s so o o on n nn n ne e es s s t to ou u uc c ch h hée e es s s h h ho ors l l l lu u u u u u u u u us s s s s s p p p p pa a ar r r rt t t t ti i i i ic c c c cu u u ul l li i iè è èr r re e em m me e en n n n nt t t t t d d d d d de e e es s r r rs s so o on n n n n n n nn n ne el l l l s s s s so o oi i i ig g g gn n na a an nt. B Bi i ie e en n n n n n q q q q qu u u u u u u ue e e e e e s s s sfa a ai i i i ib b b b b b b bl l l l l l l le e e e e e e e e e,,,l le eC C C C C C C C CD D D D D D D D D DC C C Ct t tr r ra a av v a a a a a a a ai i i i i i i i il l l l l l ll l l l l l l le e e e e e e e ea a a a ac c c c c c c--- L’ L LA ’ D DA A D D D i i in nf f f fo o o or r r r rm m m m m m m me e e e r re es s s su ur r l le e f f fa a ai it t q qu u u u u u’’u u u u u un n n n n l l le e e v v vi i ir r ru u us s d d d’E E E Eb b b b b bo o o o o ol l l l la a e e e e e e es s s s s st t t g g gi i ie e eu u u us s s se e e e l l l l lo o o o or r r rs s s s s d d d de e e e l l l’a ap pp p p p p pa a a a a a a ar r r ri i i i i i i it t ti i A A Au u A A A ssi i,,e e en n n n nr r r ra a a a aison n nd d d d d de e e e el l la a a a a a a an n n n na a a a a at t t t t t t t tu u u u u m m m ma a al l l la a ad d d d di i i i i i i i ie e e e e e e e,,, i i il l l l e e es st t t t p pe e e e eu u u u u u u u u u u u p p p p p pr r r r r r r ro o o o o o ob b b b b b ba a a a a a ab b b b b b b per r r- r r ne el l ls s d d d d d d de e e e e en n n n n n n nt t t t t t t ta a a a a a a ai i i i i i i i ir r r r r r re e e e e es s s s s s d d d d d d’’a a at t tt tend dre les t t t u u un n n n n j j j j jo o o ou u u u u u u u ur r r r r r r r r rs s s s s s c c c c c c c co o o o o on n n n n n n ns s s s sé é é é éc cu ut ti i if f fs s s a au u v vo oy y ya ag g ge e,, nt t t t t d d d d d d d de e e e e e e e p p p p p p p p pr r r r r ro o o o o o o oc c c c c c cé é é é é é é é é éd d d d d d d d de e e e e e e e e er r r r r r r r r a a a a a a au u u u s s so o o oi i i i in n n n d d denta ai i ir r re e e d d d’u u un n n p p pa a a- t t ti i ie e e e en n n n nt t t t. E E E E E E E E E En n n n n e e e e e e e e e e ef f f f f f f f f f f f ff f f f f f f f f f fe e e e e e e e et t t t t t t t t t,,,,,, t t t t t t t t to o o o o ou u u u ut t t t t t t t t te e e e e p p p p p p p pe e e e er r r rs s s so o o on n nn n n ne e r r re e en n n n nt t t t tr r r r ra a a an n nt t t d d d d de e e es s s s s p p p p p p pa a a a a ay y y y y y y y y a a a a a s s s so o o o o o o o o o o o ou u u u u u u u u u u ue e e e e es s s s s s s s st t t t t t t t t t--a a a a a a a a a af f f f f f f fr r r r r ri i i i i ic c c ca a a a a ai i i in n n n ns s s,,,,L L Li i i i ib b bé é ér r r r ri i i ia a a a a,,S S S Si i i i ie e e er r rr r r r r r ra a a aL L L L L L Le e eo on n n n ne e e e e ee e et t t t t t l l l l l l la a a a a a a a G G G G G G G G G G Gu u u u u u u u u u u u u ui i i i i i i i i i i in n n n n n n n n n né é é é é ée e e e e e e e e a a a a a a a a a a p p p p p p pu u u u ê ê êt t t tr r r re e e e e e e e e e e e e en n c c c c c c co o on n n n n nt ta a a a ac c c c c c c c ct t t t t t t t t t a av v v v v v v v v v v a a a e e e e e e ec d d d d d d d d de e e e e es s s s p p p p p p p p p p p pe er--- r r SierraLeone.Sonap pp paritionaétéofficielle- m me en nt t r re ec co on nn nu ue e e en n m ma ar rs s c ce et tt te e a an nn né ée e. S Se el lo on n l les e es s st t ti im m ma a ation ns s s d d de e l l l’O O Or r rg ganisa at t ti i io o on n n m m mo o on n nd di ia a al l le e e d d d de e e l l la a a s s s s sa a a a an n n n nt t té é é ( ( ( (O O OM M M MS S S) ) ), e e en n n n nv v v v v n n n n i i i i ir r r r ro o on n 9 9 9 0 0 00 0 00 0 0 p p p p pe e e e er r r r rs s s s so o o o on n nn n ne e es s s o o on n n n n nt t t t é é é é ét t t t t t té é é é é i i i i i in n n n nf f f f f fe e e ec c ct t té é é ée e es s p p p pa a a a ar r r r r r r l l l la a a a a m m m m m m m ma a a a a al l la a ad d di ie e e e e et t t e en n n n n nv v v v n n i i ir r ro o on 4 4 45 5 5 5 5 5 5 5 50 0 0 0 0 00 0 0 0 0 0 0 0 0 0s so on n n n n n n n n n n n nt t t t t tm m mo o or r rt ts s. de n s’adapte verser les ét ÀSuivre.. ”Pages s s2 2 2 2| | | |6 6 6 8|9| 8|9 |8|9 |8| | 10| 67 8a 8b 234 de la santé (OMS), environ 9000 personnes 90

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