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Dental Tribune Édition Française No.4, 2016

Dental Tribune Édition Française |Avril 2016 6 Dental Tribune: L’avènement de l’empreinte optique et de la chaîne digitale ont-elles changé votre exercice ? Déborah :Oui absolument. L’empreinte optique m’a permis un gain de temps consé- quent. Temps que j’utilise pour améliorer mes préparations. Elle m’offre, à l’aide du la- boratoire également, un gain qualitatif im- portant, notamment sur le plan de l’adapta- tiondemesrestaurations.Enfin,c’estunoutil de communication précieux avec le patient. Vosrapportsaveclelaboratoireont-ilschangé? Vosfacturesdeprothèseont-ellesdiminué? Déborah : Oui, ma relation avec le labora- toire s’est renforcée. Lorsque j’ai terminé ma préparation je peux la faire analyser par le technicien de laboratoire. Comme le patient est encore là et qu’il est témoin de notre échange, si des corrections sont nécessaires, elles sont toujours les bienvenues. Le patient ressentquel’onprendletempsdeluioffrirce qu’ilyademieux.Letechnicienestécoutéet entendu. De plus, les factures de prothèses ont diminué Quels sont les actes que vous réalisez le plus avec le Cerec ? Déborah :Lesprisesd’empreintesd’inlays, decouronnes,decouronnessurimplants.Ce sontdesactesfréquents,pournepasdirerou- tiniers, dans la pratique de l’omnipraticien. CEREC insuffle une nouvelle jeunesse aux actes et les remet en valeur. (Figs. 4 et 5) L’âge est-il un obstacle pour passer au numé- rique ? Jacques : (Rire) Absolument-pas, au contraire cela constitue une nouvelle moti- vation dans l’exercice de mon métier. C’est une bouffée d’oxygène qui m’a permis de « rajeunir » de quelques années et de me ra- mener au début de mon exercice ou je cou- lais mes empreintes, taillais mes dies et tra- çais mes limites de préparation. Sauf que avec le numérique tout se réalise en quelquesclics,sansdélaid’attente,j’airetro- uvé le plaisir le tracer mes limites de prépa- ration. Quevousaapportél’empreinteoptiqueversus l’empreinte physique ? Jacques :L’empreinteoptiqueestpourmoi un gage de qualité et de rapidité, 2 minutes me suffisent pour prendre l’arcade, l’antago- niste et la RIM. Votrerelationaveclalaboratoireat’ellechangée? Jacques :Oui,carmacommandeestimmé- diatementpasséeaulaboratoire,etc’estdans la relation « Connect » que je trouve le plus d’avantage. Le scanner intrabuccal Cerec « Omnicam » m’apermisdedéveloppermarelationavecle laboratoire. Nous pouvons échanger en direct sur chaque cas clinique complexe, devant un écran commun nous pouvons dialoguer, commenter, échanger. Pensez-vous que l’on puisse en faire autant devantunefichedelaboratoire?Surtoutquand lelaboratoiretravaillesurunmodèleissud’une empreintephysiquevousn’avezplusquevotre mémoire pour en discuter par téléphone, à moinsquelelaboratoirenesedéplaceàvotreca- binet. Ce qui dans mon cas est peu réaliste au quotidien,4hderoutealler/retour! Lemeilleurexemplesontlesfacettesdansle cas de traitement d’augmentation de la DVO, celavamepermettrederetoucherendirectmes GÉNÉRATIONS CEREC GÉNÉRATIONS CEREC (épisode 6) Déborah et Jacques, 2 générations de dentistes (30 et 60 ans) nous ont fait partager leurs premiers pas dans la digi- tale Connection. Une année s’est écoulée depuis l’arrivée dans leur cabinet du Cerec, de l’usineuse MCXL et de la 3D Sirona Galiléo (Fig. 1). Laissons leur la parole et nous faire part de l’intégration digitale. Commençons par leur poser quelques questions : 1 2 3 4 5 345

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