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DT Study Club - Le magazine de formation continue dentaire

I roots _ première molaire mandibulaire _Au cours de la dernière décennie, l’univers endodontique s’est nanti d’un nouvel arsenal de technologies, instruments et matériaux, tels que microscopes chirurgicaux, radiographie numé- rique, tomodensitométrie volumique à faisceau conique (CBCT), limes rotatives en nickel-titane (NiTi) destinées à la mise en forme canalaire, ins- truments soniques et ultrasoniques, et systèmes d’irrigation. Et pourtant, malgré toutes ces amé- liorations, le résultat global n’a pas enregistré d’amélioration vraiment importante, surtout dansledomainedutraitementendodontiquenon chirurgical.1–8 Qu’elle en est la raison ? Si nous considérons ce fait d’un œil critique, nous pouvons identifier deux facteurs importants, directement liés au pronostic, qui ont limité nos progrès : l’éradica- tion prévisible des micro-organismes et l’accès à l’anatomie complète du système canalaire où ces organismes pourraient être hébergés. La première molaire mandibulaire (PMM) est la dent qui est l’objet le plus fréquent d’un traite- ment endodontique.9–11 Dans une étude me- née par Swartz et al., le taux de réussite des traitements dentaires endodontiques s’élevait à 87,79 %, avec des résultats nettement moins éle- vés (81,48 %) pour les PMM.12 Il est généralement admis qu’une simple procédure de nettoyage et de mise en forme n’est pas appropriée à l’en- semble des cas. C’est pourquoi l’endodontiste Figs. 1a & b_Traitement du canal radiculaire d’une PMM comportant 3 racines : radiographie préopéra- toire (Fig. 1a) ; radiographie postopératoire (Fig. 1b). Anatomieducanalradiculaire de la première molaire mandibulaire définitive Implications et recommandations cliniques Auteurs_Dr Carlos Heilborn, Paraguay ; Dr Oliver Valencia de Pablo & Dr Roberto Estevez, Espagne ; Dr Nestor Cohenca, États-Unis 42 I Le magazine 2_2013 Fig. 1a Fig. 1b