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laser - le magazine international de l’industrie laser

I recherche _ parodontite chronique 28 I laser1_2013 puissance de crête de 80.600 W/cm2 , énergie du la- ser par dent traitée de 240 J. Le diamètre de la fibre était de 600 µs (0,002826 cm2 ). Seul un refroidisse- ment par air (échelle +5) a été utilisé pendant l’irra- diation. Chaque dent a été traitée pendant 60 se- condes. Réglages puissance-intensité du laser GaAlAs : bouton 8 J avec une intensité énergétique de 63,5j/cm2 .Lespapillesvestibulaires,palatinesetlin- guales ont été traitées pendant 53,3 secondes par face. La zone irradiée mesurait 0,25 cm2 . La lampe LED utilisée dans cette étude avait une puissance de sortie de 2.000 mW/cm2 . La densité énergétique(J/cm2 )n’apasétécalculée,caràl’émis- sion énergétique de la pointe, s’ajoutait une émis- sion latérale considérable. Les sites irradiés concer- naient tout à la fois les faces vestibulaires et lin- guales. Examenmicrobiologique Despointesdepapierstériles(ISO40)ontétéuti- liséespendant30secondes,pourrecueillirlaplaque sous-gingivale.Laplaqueaétéprélevéesurlemême sitequeleséchantillonsdefluidecréviculairegingi- val. Après le passage des pointes papier sur chaque quadrant,ellesontétéplacéesdansdesflaconssté- riles pour le transport et envoyées au laboratoire, aux fins d’une analyse approfondie. Le microbiote sous-gingival a été analysé à l’aide de la technique d’hybridation d’ADN en damier.3 Le nombre de sites positifs et de sites présentant des unités formant colonies≥103ontenoutreétéconsignés.L’analyse a porté sur les cinq micro-organismes suivants : Aggregatibacteractinomycetemcomitans,P.gingi- valis,Prevotellaintermedia,Tannerellaforsythensis et Treponema denticola (AID Diagnostika GmbH, Periodontitis++). Méthodesstatistiques Un logiciel commercialisé, tel que GraphPad Prism 5 de GraphPad Software, a été utilisé pour l’analysestatique.LaPPDetleBOPconstituaientles variables principales de l’issue clinique. Les valeurs moyennes et les écarts-types (moyenne ± S) des variables cliniques ont été calculés pour chaque traitement, en considérant le sujet comme l’unité statistique.LetesttdeStudentaétéutilisépouréva- luer les variables continues (mesures cliniques), aprèsconfirmationdelanormalitédeladistribution des données. Le niveau de signification des écarts au sein de chaque groupe, avant et après le traitement, a été évalué au moyen du test T pour des échantillons appariés. Les écarts ont été considérés comme sta- tistiquement significatifs lorsque la valeur p était inférieure à 0,05. Les données post-traitement relatives à chaque quadrantontétécontrôléesparrapportauxvaleurs initiales, à l’aide du test t pour échantillons appa- riés, dans le cadre des écarts statistiquement signi- ficatifs. Finalement, les données relatives aux quadrants traités par laser ont été comparées aux données du quadrant traité de manière conven- tionnelle, au moyen d’un test t pour échantillons non appariés. _Résultats Résultatsmicrobiologiques Les dix patients ont participé aux examens initiaux et aux visites de suivi. En ce qui concerne le groupe traité au laser Nd:YAG et par DSR, il doit être souligné que les niveaux de A.actinomycetemcomi- tans(A.a.)ontétéconsidérablementréduitspendant toute la durée de l’étude. Il doit être également noté queleniveaudeA.a.adiminuépendantladeuxième semainedetraitementdanslegroupetraitéparLED- PDT et DSR. En outre, les niveaux de bactéries an- aérobiesàGramnégatifontétéfortementréduitsau cours de l’étude dans le groupe traité au laser Nd:YAG,encontrasteavecuneabsencederéduction dans les autres groupes de traitement. Dans le groupe traité au laser GaAIAs, les échantillons mi- crobiologiques ont révélé une augmentation des seuils de détection, allant d’une valeur modérée à élevée. Ce résultat est conforme aux données de la littérature indiquant que le laser basse puissance conduit à un développement bactérien.10 Fig. 6_Changement de la PPD entre le début de l’étude et un mois, puis d’un mois jusqu’à trois mois après le traitement dans le cadre des tests et de l’évaluation des dents. Fig. 6Fig. 5