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laser le magazine international de la dentisterie laser édition française

I spécial _ LANAP Fig. 1_Ablation thermique sélective de l’épithélium. Fig. 2_Formation du caillot de fibrine stable. Fig. 3_Charte parodontale. _Une perspective historiquedudéveloppement de la thérapie parodontale au laser est présentée danscetarticle.Lasimplicitéduprotocoleestanaly- sée, ainsi que ses nuances. Le concept de la thérapie parodontale au laser (LANAP) est né en 1989 avec les docteurs Robert GregglletDelMcCarthy.Commepourlaplupartdes dentistes généralistes qui luttent contre les réalités quotidiennesdelamaladieparodontale,ilsontcher- ché une réponse sur la façon de mieux soigner leurs patients.Laréalitéàl'époqueétaitquelamaladiepa- rodontale était difficile à traiter et à entretenir. Elle étaitprincipalementbaséesurd'anciensconceptsde débridement des plaies et d'amputations. Une fois traitée, la rechute était fréquente. Nous savons que la maladie parodontale est un processus morbide multifactorieletleshabitudescomportementalesdu patient peuvent jouer un rôle important. Il est éton- nantquelestraitementsconventionnelsaientsibien fonctionné.Mêmelorsqu’ilsfonctionnaient,ilyavait souvent d'importants effets secondaires cliniques comme psychologiques. D'un point de vue clinique, la plupart de ces cas traités traditionnellement étaient difficiles à restituer à chaque fois que le trai- tement prosthétique dentaire était nécessaire et les patients étaient souvent laissés avec un résultat es- thétique peu satisfaisant d'une apparence de dent longue. En post-opératoire, il y avait une exposition de la surface de la racine importante et avec l'espé- rance de vie grandissante des patients et les pro- blèmes de bouche sèche, les caries radiculaires peu- vent devenir un problème très difficile à contrôler. Plus problématique est le fait que, psychologique- ment, beaucoup de ces patients ressentaient que l'inconfort de la procédure et/ou la sensibilité den- taire résiduelle après le traitement étaient si grands qu'ils ne termineraient pas les zones restantes qui auraient besoin d'un traitement, ou refuseraient un nouveautraitementaprèsunerechute.Pourcompli- quer encore ces difficultés, les patients parleraient de leurs expériences à leurs amis et à leur famille, ce qui n’aiderait pas à ce que de futurs patients accep- tent un traitement parodontal. Durant cette même période,lesDrsGreggetMcCarthysesontintéressés LANAP –Thérapie parodontale au laser Auteur_Dr David Kimmel, États-Unis 26 I laser3_2012 Fig. 2Fig. 1 Fig. 3