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cosmetic Le magazine international de l’esthétique dentaire

36 I I rapport clinique _ l’imagerie cosmeticdentistry 1_2012 souvent classées par leur système de détection ra- diographique, détecteur intensificateur d’image (II) ou détecteur à panneau plat (FP). Les intensificateurs d’image ont une technologie plus ancienne et moins chère qui aboutit généralement à plus de bruit que les FP et ils doivent être prétraités pour réduire les distorsions géométriques inhérentes à la configu- ration du détecteur. Le faisceau de rayonnement est de forme 3D et est similaire à l’énergie des photons utilisés en radiologie dentaire numérique ou conven- tionnelle. Le récepteur capte des images 2D, soit directement par le FP, qui absorbe les photons qui sont convertis en charge électrique, elle même mesurée par l’ordinateur, ou, avec le II, qui capture les photons et les convertit en électrons qui rencontrent un écran fluorescent qui émetunelumièrecaptéeparunecaméraàtransfertde charge.Lelogicielreconstituealorslasommedesexpo- sitions à l’aide d’algorithmes propriétaires du fabricant jusqu’à512coupesaxiales. Beaucoup d’Unités CBCT ont une profondeur de champvariable(FOV)quipermetaucliniciendelimiter l’exposition au rayonnement à la région intéressée. Le facteur limitant est la taille du détecteur d’image, présentéenuncertainnombredetaillesselonlefabri- cant mais, pour des raisons de simplicité, nous allons lesclasserenchampsdevisiondepetitetaille(<15cm), moyenne(15cm),large(23cm)etextra-large(30cm). L’image maximale d’un petit FOV peut généralement contenir la plupart des dentures adultes. Les FOV moyens et maximaux peuvent supporter toutes les dentures adultes s’étendant jusqu’aux condyles et au sinus. Le FOV maximum englobe l’anatomie maxillo- faciale, y compris les condyles et une grande part des orbites.Enfin,leFOVextra-largepeutaccueillirlecrâne entier dans la plupart des cas. Indépendamment de la capacité du volume de l’unité, il est important de restreindrelechampàlarégionintéressée,cequiaun effet significatif sur la quantité de rayonnement ab- sorbée. LesimagesauformatDICOMsontunenormepour le traitement, le stockage, l’impression et la transmis- sion des informations de l’imagerie médicale, y com- pris celles en CBCT. En imagerie 3-D, cela devient un atout majeur dans l’exportation de cet ensemble de donnéesàdeslogicielstiersquifaciliterontlesrendus d’image, la planification implantaire et la fabrication des guides chirurgicaux destinés à la pose des l’im- plants(Figs.4a–c). _Consultation et planification du traitement Une fois l’examen et les élé- ments de diagnostic recueillis, le processus d’interprétation, de diagnostic, de planification de traitement et de consulta- tion entre en jeu, avec une my- riade d’applications pour facili- ter ces processus. Les systèmes actuelssontbaséssurdesappli- cations 3-D, mais ce sont des systèmes, même pour ceux qui Fig. 6a_Scan CBCT pré-op avec guide radiographique. Fig. 6b_Plan de chirurgie guidée NobelGuide. Fig. 6c_Implants posés avec guide chirurgical avant pose des provisoires au laboratoire. Fig. 6d_Scan CBCT post-op avec implants et prothèse provisoire immédiate. Fig. 7a_Simulation de prothèse en utilisant le Dental GPS. Fig. 7b_Modèles waxup au laboratoire dentaire en utilisant le Dental GPS. Fig. 7c_Restaurations dentaires provisoires terminées en utilisant le Dental GPS. Fig. 7d_Reconstructions provisoires terminées. Fig. 6a Fig. 6b Fig. 6c Fig. 6d Fig. 7c Fig. 7d Fig. 7a Before After Fig. 7b