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CAD/CAM - international magazine of digital dentistry France

I 33 rapport de l’industrie _ CAD/CAM I CAD/CAM 1_2012 seulement par des microprocesseurs plus puissants, maiségalementpardessondesd’imagedetechnolo- gie CCD, avec photodiodes à haute résolution, aussi bienquelesmodulesdebalayageoptiquesettactiles qui aident à lire et à élaborer des préparations, et transmettre les modèles au logiciel. Les modules de scan par laser fournissent une capacité d’impulsion pour reproduire les surfaces dentaires à un taux de milliers de points mesurés par seconde. Le logiciel amélioré de DAO avec des applications graphiques en trois dimensions reçoit les signaux numériques et recrée la surface clinique ayant besoin de la res- tauration. Employantleréglageocclusal,basésurlessurfaces occlusales stockées dans la banque de données de dents, le logiciel reconstruit alors pratiquement la surface de la dent. Les cuspides de la surface occlu- sale sont réglées dans leur position fonctionnelle. Un programme d’articulation prend les caractéristiques occlusales des antagonistes et des surfaces occlu- sales des dents adjacentes et crée un modèle de point de contact qui remplit les critères de la fonction in- dividuelle. Un enregistrement fonctionnel, acquis et régional, détecte les interférences, travaillantes et balançantes,etlesréduitautomatiquement(Fig.1). L’impulsionpourcedéveloppemententechnologie dentaire est issue de deux sources. La première était l’enregistrement des protagonistes de la restauration paruneunité chairside(NdT:litt.:àcôtédufauteuil: ext: dans le cabinet dentaire) permettant de réaliser une céramique, industriellement fabriquée, avec les propriétés physiques définies directement par l’unité de traitement (chairside) et fournir au patient la res- tauration définitive (se passant de provisoires) en un seul rendez-vous. La seconde était l’idée d’utiliser la céramique d’oxyde, comme ZrO2, pour des infra- structures de couronne et de bridge, en employant la technologie de CFAO ou les techniques de fraisage à commandenumérique. L’autre céramique, tel le disilicate de lithium, pré- sente également de meilleures propriétés après le traitement mécanique, car les « blancs » utilisés sont fabriqués industriellement dans des conditions op- timales. En outre, la technologie des systèmes de CFAO a été sensiblement améliorée. Dans les années 90, les ordinateurs sont devenus des méthodes et mesures plus puissantes et plus efficaces, permet- tant d’adapter les systèmes par acquisition de don- nées à trois dimensions aux besoins de l’art den- taire et permettant de simplifier la manipulation de l’équipement. L’évolution du logiciel de DAO a per- mis le développement d’une série de possibilités de constructions et a amélioré la qualité d’unités de meulage/fraisage (Fig. 2). Rentabilité et restaurations de haute qualité sont les caractéristiques définissant la technologie par CFAO. Le dentiste et le prothésiste dentaire profitent, de la même façon, de ce fait, du traitement et de la fabrication normalisés et commandés, de même que le patient. Aujourd’hui, approximativement 82 pour cent de restaurations tout-céramique, en Allemagne, sontfaitsenemployantl’informatique, cequiindique que la technologie CFAO s’établit dans les cabinets et leslaboratoiresdentaires.Uneprochaineétapedeson évolutionest,maintenant,prévue. _Où en sommes-nous, aujourd’hui ? Les nouvelles méthodes modifient constamment les processus usuels, et les avancées simplifient le dé- roulementdesopérations.Ceciestreflétédanslaplus grandeproportiondeconstructions,d’articulationsde modèlessurinterfaceWindows,delaconceptionexté- rieure occlusale bio-générique en utilisant un logiciel intelligent, de la visualisation rapide du prototype, et des publications scientifiques sur l’empreinte en trois dimensions dans le cadre de la CFAO. La pratique sans empreinte est la dernière étape dans ce développe- Fig. 3_Les différentes images intra-orales sont anatomiquement correctes, car elles sont compilées dans un modèle virtuel d’un quadrant. (Photo : Sirona) Fig. 4_Le module de scan intra-oral par caméra permet une empreinte optique du maxillaire supérieur ou de la mandibule entière, prémices de la pratique sans empreinte. (Image : Wiedhahn) Fig. 4Fig. 3