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CAD/CAM - international magazine of digital dentistry France

28 I CAD/CAM 1_2012 I spécial _ implants mètre inférieur à celui des implants étroits et ont undiamètrede2,7mmoumoins.Enraisondeleurs diamètres plus petits, les MDI nécessitent un mi- nimum d’espace interdentaire tout en préservant plusd’osalvéolaireaprèslesostéotomiespourpla- cement de l’implant. Les MDI ont été initialement développés pour soutenir des prothèses de transi- tion et ont finalement été destinés à être suppri- més.Toutefois,cesimplantsprésententuncontact os-implant semblable à celui des implants avec des diamètres conventionnels. De nombreuses études ont indiqué que les MDI semblent être une option thérapeutique efficace pour les incisives mandibulaires. Néanmoins, l’un des principaux inconvénients des MDI est la réduction de résis- tance à la charge occlusale. La rétention d’un im- plant, cependant, est corrélée à la longueur de l’implant et non à son diamètre. Cela implique que les MDI peuvent être utilisés dans des situations où les charges occlusales excessives ne sont pas présentes. Les MDI de moins de 3 mm de diamètre sont fondamentalement contestés comme des concep- tions en deux pièces en raison de la force insuf- fisante de leurs composants. Lorsque le diamètre d’un implant s’approches de 3 mm ou moins, soit la vis d’épaulement devient trop petite, soit les parois axialesinternesdel’implantdeviennenttropminces pour résister à la charge de fonctionnement. Ces préoccupations peuvent être surmontées avec une conception monobloc. Les implants « one piece » ont récemment reçu une substantielle attention en dentisterie implantaire, et pourtant, les implants monoblocs ne sont pas nouveaux en implantologie. Alors que l’utilisation d’implants « une seule pièce » a été controversée, ils ont été utilisés pendant des décennies avec de raisonnables succès cliniques. Les variations récentes des premières concep- tionsontcrééunregaind’intérêtpourcevieux,mais pas obsolète, concept. La plupart des implants mo- noblocs sont composés de trois parties : l’ancrage osseux (filetage de fixation), la partie transmu- queuse et la partie de la restauration prothétique. Le principal inconvénient des implants mono- blocs est lié au fait que ces implants doivent être placés avec un protocole en une seule étape. Par conséquent, l’angulation du pilier ne peut être mo- difiée et seule une modification minimale est pos- sible. Sans la liberté de choix du pilier prothétique, le positionnement chirurgical initial des implants monoblocs devient crucial pour l’obtention d’un résultat optimal. Fig. 10_Huit semaines post-implantation. Fig. 11_Coiffes de transfert. Fig. 12_Modèle de travail. Fig. 13_Vue de dessus. Fig. 14_Prothèse finale. Fig. 15_Suivi à treize mois. Fig. 16_Radio périapicale. Fig. 10 Fig. 11 Fig. 13 Fig. 14Fig. 12 Fig. 15 Fig. 16