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cosmetic dentistry_ beauty & science France

16 I I rapport de l’industrie _ compobonds cosmeticdentistry 1_2011 Fig. 18 b_Vertise est distribué sur toute la surface occlusale. Figs. 19 a & b_Une brosse est utilisée pour étaler Vertise sur la surface de l’émail pendant 15 à 20 secondes (a) et obtenir une couche d’épaisseur < 0,5 mm (b). Fig. 20_Vertise après le durcissement par lumière appropriée. Fig. 21_Le papier d’articulation est utilisé pour vérifier les contacts occlusaux. Notez du matériel éclair étranger sur la face distale de la molaire permanente. Fig. 22_Pour les dents mandibulaires, tous les contacts occlusaux sont supprimés, sauf ceux sur les cuspides d’appui vestibulaire. Notez que le matériel éclair distal a été supprimé. d’une ouverture ou décoloration de surface de la marge de la cavité. La réflexion actuelle est que les facteurs de risquedupatient,telsquel’hygiènebuccale,lesconsidé- rationsdiététiquesetl’attitudeenverslessoinsdentaires, sontessentielspourdéterminersilacarievaseproduire.21 Comme indiqué précédemment, la répartition mar- ginale est attribuée à la rétraction de polymérisation d’uncompositelorsdesamiseenplace,allantde2à5% en volume,22 ce qui souligne que la cause conduisant àl’échecducollageetàlaformationd’interstices(Figs.3 &4).Lestressdepolymérisationpeutêtreatténuéparla technique clinique, le MOE du matériel et la configura- tion de la cavité ou le facteur «C». Dans un effort pour contournerlarétractiondepolymérisation,lesfabricants ont modifié la composition chimique des matériaux compositespouravoirdespropriétésfavorables.Ils’agit notamment de varier la taille, la forme et le volume des particules de charge inorganique, ainsi que l’améliora- tiondel’adhérencedeschargesàlamatricederésineor- ganique. D’autres facteurs qui réduisent les contraintes sontlaméthodederéactiondeprise,parexempleenuti- lisantlapolymérisationpulsée,23 etlerenforcementpro- gressif de l’obturation en composite au cours du place- ment.24 Une autre technique (voir ci-dessous) est l’utili- sationdecompositesfluidesavecunMOEfaiblecomme première couche de revêtement de base pour absorber les contraintes de polymérisation et contrecarrer les forcesàl’interfacerestauration-dentine.25 _Composites fluides Lesfluides,introduitsdepuisprèsdedeuxdécennies, sontdevenusomniprésentsdansdenombreusesappli- cations.Ilsprésententuneplusgrandefluiditéetélasti- cité, offrant une meilleure adaptation aux parois de la cavitéinterneetsonttrèsconviviaux.Enoutre,laradio- opacité de ces résines permet une détection facile des caries secondaires, et révèle l’intégrité marginale ou les marges ouvertes. Un matériau de restauration doit posséder une radio-opacité qui est légèrement plus grandequel’émailpourdistinguerlacarie,26 etsupérieur auminimumdelanormeISOouégalousupérieuràune épaisseuréquivalented’aluminium.Ceciestparticuliè- rement significatif si les fluides sont utilisés comme couche inférieure de revêtement intra-coronaire ini- tiale suivie d’incréments ultérieurs de composite uni- versel. La norme ISO pour FS minimal de matériaux de restauration extérieure occlusale est de 80 MPa, ce qui estaffichéparlaplupartdesfluidesactuellementsurle marché. Le FS dépend du matériau spécifique breveté, allantde70àenviron100MPa,ensedégradantaufildu temps,etestenvironde80%parrapportauxanalogues non-fluides. Bien que les micro-fuites soient un phénomène multifactoriel,leMOEdumatériauestunfacteurcrucial qui détermine sa grandeur. Similaire à FS, le MOE est variable, selon le produit, allant de 3 à plus de 11 GPa, et aussi en diminuant au fil du temps. Les propriétés viscoélastiques d’un fluide déterminent son aptitude àl’écoulementetàlamanipulationclinique.Lescarac- téristiques d’écoulement des composites fluides peu- ventêtrediviséesendébitbas,moyenetélevé.27 Chaque variétéestadaptéepourlesdifférentestâchescliniques. Par exemple, un matériau très fluide est souhaitable commefonddecavitéousealant,pouradhérerauxpa- roisdelacavitéoulescrevassesdesfissurescomplexes, tandis qu’une variété moins fluide est préférable pour de petites cavités ou réparations, où un effondrement excessif est une nuisance. Actuellement, la plupart des composites fluides possèdent peu d’inhibition bacté- rienne potentielle PO, inefficace en particulier contre S. mutans, le principal agent de la carie dentaire. Alors Fig. 19a Fig. 19bFig. 18b Fig. 21 Fig. 22Fig. 20